Commentaire du fil de discussion sur le forum « Un évêque s'est levé ! » : Au sujet du bien commun. Son auteur, Volmar, élabore une théorie très personnelle sur le bien commun politique. M. Midelt nous en propose une analyse.
Deuxième partie : contre la théorie des opposants modernistes à la doctrine politique traditionnelle. La foi est menacée par le fidéisme et le rationalisme. Pour les thomistes authentiques, il faut, et surtout on peut, concilier la surnaturalité de la foi avec « la démonstration (rationnelle) des choses qui sont les préambules de la foi ».
Réponse à un commentaire concernant l'article "La politique des États non-catholiques et la vraie religion".
Conférence donnée par Mgr Williamson le 22 janvier 2014 à Paris.
Puisqu'il est donc nécessaire de professer une religion dans la société, il faut professer celle qui est la seule vraie et que l'on reconnaît sans peine […] aux signes de vérité dont elle porte en elle l'éclatant caractère.
Nous proposons ici un extrait du livre de Bernard de Midelt : "Peut-il exister une politique chrétienne ?". Pouvait-on raisonnablement assurer la pérennité du gouvernement des « princes chrétiens » ? La connexion aléatoire des vertus infuses et acquises en politique.
C’est la thèse des démocrates, dont les ancêtres sont Robert Bellarmin et François Suarez : « [...] il n'y a pas de raison pour que dans une foule d’hommes tous égaux l’un domine plutôt que l'autre : donc le pouvoir appartient à tous. ». Voici les réfutations de deux grands auteurs de la science politique.
Combien de fois n’avons-nous pas entendu nos détracteurs se moquer ou se plaindre ou, pire encore, combattre l’attitude disputative qui consiste à revenir aux principes de philosophie lorsque nous traitons de sujets politiques ? Or, si il y a bien un principe méthodologique à tenir en science politique, c’est bien celui de l’importance d’une doctrine philosophique préalable à tout système politique.
« Mon Révérend Père,
L'Enquête est un film américain sorti en 2009. Il s'inspire du scandale entourant la banque "Bank of Credit and Commerce International" (BCCI). La BCCI était une banque du Moyen-Orient basée au Luxembourg, qui connaîtra une faillite retentissante en 1991. Elle a été associée à diverses activités criminelles, en particulier le blanchiment d’argent au profit des cartels colombiens de la cocaïne.